Presse

Jeanne Michard à la radio

Podcast du Mercredi 29 juin 2022
Podcast du Samedi 31 décembre 2022

Jeanne Michard dans la presse

« À découvrir absolument, Jeanne Michard et son Latin Quintet dans Songes Transatlantiques, dont elle a signé les superbes compositions. Sa sonorité au ténor concilie, comme chez Sonny Rollins, rigueur et ferveur. Comme le maître aussi, celle inclination pour le jazz afro-latin, qu’elle a cultivée lors de séjours en Amérique du Sud, à New York et à Cuba. Un périple enthousiasmant ! »
Fara C. – L’Humanité

« Une sonorité chaude, dense, dans la lignée de Coleman Hawkins, Johnny Griffin ou Sonny Rollins, dont on retrouve ici l’esprit et l’inspiration, avec ce que cela suppose d’expressivité. Un talent indubitable de compositrice. Telles sont les caractéristiques de Jeanne Michard qui se manifestent dans cet album. »
« Son Latin Quintet, remarqué dans les concerts et festivals tant en France qu’à l’étranger, lui donne une réplique digne de son talent. »
Jacques Aboucaya – Jazz Magazine

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« Qu’est ce qu’une musique exemplaire sinon celle qui vient du cœur ? C’est ce que Jeanne Michard réalise avec Songes transatlantiques »
Mario Borroni – Citizen Jazz

« Boppeuse de talent, Jeanne Michard a également étudié la salsa à la source, en Amérique latine, et à New York. De cette expérience, elle a tiré l’inspiration de son nouvel album, Songes transatlantiques. Par-delà leur saveur afro-latin et leur piment rythmique, on retrouve dans ces nouvelles compositions le goût de la saxophoniste pour la note juste. Au Duc, promesse de fiesta, donc, mais aussi de jazz affûté. »

Louis-Julien Nicolao – Télérama

 

 

« Emmené par une saxophoniste qui ne baisse jamais la garde, ce quintet latin est promis à un bel avenir sur scène. »
Jean-Louis Lemarchand – Dernières nouvelles du jazz

« Songes Transatlantiques propose une fusion subtile et magique qui mélange parfaitement jazz et musique latine. »
Dominique Boulay – Paris-Move & Blues Magazine  chronique

« S’entourant d’un quartet diablement efficace (Natascha Rogers et Pedro Barrios aux percussions, Maurizio Congiu à la contrebasse, Clément Simon au piano), la saxophoniste ténor est très parfaitement convaincante, créant autour d’elle une réelle osmose, pleine de la chaleur et de l’énergie de cette musique si difficilement « authentique » lorsqu’elle est loin de ses racines. Pas un mince exploit. »
Jazz News 96 (glissé(e)s) 4